discussion censurée sur Wikipédia, droit au logement
Historique de cette association
Si mes contributions jugées peu neutres disparaissent à nouveau, je déclencherais une controverse de neutralité, car avant ces contributions cet article était plus que non neutre il était infamant et mensonger, d'autre part les liens renvoyant à la brochure du comité des mal logés et à l'article concernant l'incendie de l'immeuble Vincent Auriol revendiqué comme victoire du Dal et comptabilisé dans ses chiffres invraisemblables de relogement (si on fait le décompte Dal reloge plus de gens que tous les bailleurs sociaux, ça ne vous fait pas bizarre?), ces liens doivent être laissés, ce sont des documents importants pour la compréhension générale ... Christian Hivert ancien membre fondateur du comité des mal logés...
- Bonjour,
- Tout d'abord j'ai réécrit le paragraphe Origine en m'en tenant aux faits qui sont mentionnées dans des sources fiables. D'après quelques pages vues dans les sources il doit pouvoir être possible d'en dire plus sur la scission avec le CML, dans un premier temps je me suis contenté des faits. La critique a sa place dans l'article mais elle se doit d'être sourcée, il n'est pas raisonnable d'utiliser une partie décrivant la création de l'association pour la descendre en flêche ! De même pour la critique de l'article 2 des statuts, il est nécessaire de la sourcer. Concernant les liens ajoutés, le premier est un article de blog qui est loin de ce qui est recommandé dans Wikipédia:Liens externes. L'autre lien, la brochure du CML, me semblait d'abord hors-sujet dans cet article sur le DAL mais en y regardant de plus près elle parle aussi du DAL et pourrait justement être utile pour sourcer des critiques adressées à l'association dans l'article.
- Mwarf 18 mars 2012 à 22:54 (CET)
ok, controverse, la calomnie et la désinformation ne passeront pas...
Voici des sources publiées par des journalistes qui font leur métier http://www.lexpress.fr/actualite/societe/les-liens-opac-du-dal_746081.html un
extrait :
Le comité des dissidents
Judith Skira n'aime pas être opposée à son ancien mentor. Elle a rallié les troupes de Jean-Baptiste Eyraud, charismatique fondateur de Droit au logement (DAL), en 1996. A l'époque, le petit groupe défendait les occupants d'hôtels insalubres et d'immeubles squattés. Mais, fin 2003, le DAL décide de faire camper des mal-logés sur l'esplanade des Invalides. "Nous n'étions plus en mode défensif, mais politique, dit-elle. Les familles se sont trouvées mobilisées sans savoir contre qui elles se battaient." La centralisation du pouvoir autour d'un seul homme, les opacités du fonctionnement interne l'avaient déjà mise mal à l'aise: ce fut la goutte d'eau. Responsable de l'antenne DAL dans le XVIIIe arrondissement de Paris, elle rend son tablier et tous ses adhérents à la maison mère. Mais elle sera rattrapée par des familles du quartier, inquiètes pour leur demande de relogement. En juin 2004, Judith crée, avec d'autres déçus du DAL, le Comité actions logement (CAL). Ils affichent deux priorités: l'action concrète et la transparence. Riche d'à peine 12 000 euros de recettes annuelles mais de 1700 adhérents, l'association a déjà relogé 600 familles et monté 375 dossiers "Dalo".
Et un autre :
"Les vendus du système"
Seulement, le DAL est rattrapé par ses contradictions. Le "syndicat de lutte", comme il se définit, se partage depuis peu, avec la Confédération générale du logement (CGL), une rétribution annuelle de 17 560 euros, payée par l'office public Paris Habitat. Motif de cet émolument: leur participation à la commission de concertation locative du patrimoine de l'office HLM. Un privilège réservé aux associations élues par les locataires à plus de 10% des voix
Et un autre :
Pointage
Le DAL n'en est pas moins à un carrefour. A l'intérieur même de l'association, des voix s'élèvent pour dénoncer le mélange des genres. Jusqu'à la gestion des demandes de logement. Car il s'agit, là encore, d'une spécificité maison. Les quelque 6 000 familles adhérentes de l'association cotisent 20 euros par an, mais doivent démontrer chaque jour leur "implication" avant de songer à être défendues. Chaque campement, chaque action donne lieu à un pointage. Les plus assidus seront inscrits en priorité sur les listes des personnes à reloger d'urgence. Listes transmises, ensuite, au compte-gouttes, aux autorités concernées: ministère du Logement, préfectures, mairies.
Jean-Baptiste Eyraud assume: "Il faut que les gens aient quelque chose à gagner pour se mobiliser, tous les leaders de mouvements sociaux connaissent ça." Les intéressés se plient au règlement ou changent de crémerie.
Je vous retrouve la suite, c'est encore plus salé... Christian Hivert
La suite :
Et le DAL a contraint des mal-logés d'accepter des relogements en taudis à maintes reprises. http://www.mouvementautonome.com/article-piqure-de-rappel-69294683.html C'est pire, car on a contraint ces mal-logés d'accepter ce relogement en taudis, et les associations de lutte du logement avaient crié victoire, quinze ans plus tard rien n'est réglé , tous brûlent, et les associations fêtent leurs "vingt ans de lutte" et dix sept carbonisés... Quand à l'argument des plaques de bois pour protéger des peintures toxiques au plombs, tout professionnel sait qu'il s'agit là d'une préméditation criminelle, des plaques de placoplatre auraient suffi à retarder la propagation des flammes, cela est connu de tous les professionnels travaillant dans le batiment sur Paris, depuis le 19emme siècle , cela fait même parti des obligations légales en matière de construction rénovation. Ces associations qui prétendent lutter depuis vingt ans sont donc criminelles
Sources :
http://www.freha.fr/actualites/actualite/article/vincent-auriol.html
http://www.mouvementautonome.com/article-piqure-de-rappel-69294683.html
et encore
Tous les moyens vous sont bons pour saboter le débat? Rien de ce qui était publié n'était susceptible de contredire le moindre droit d'auteur, vous abusez de vos petites prérogatives, cette controverse de neutralité va s'exporter en dehors de wikipédia, et vous n'aurez rien gagné à votre attitude perverse et dictatoriale.
Un autre extrait témoignage des plus savoureux...
"Emmaüs-France a pris il y a quelques mois la décision étonnante de fermer cet hôtel : plus étonnant encore, aucune proposition de relogement , ou même d'hébergement décent ne nous a été faite.
Dans un premier temps, on nous a proposé des chambres d'hôtel ou des places de foyer : ces propositions principalement localisées en banlieue, alors que nos enfants sont scolarisés à Paris : certaines chambres d'hôtel étaient insalubres, et on a même demandé à une mère de famille isolée d'accepter une place dans un foyer ou les résidents étaient exclusivement masculins. Aucune garantie de financement de ces hôtels et foyers ne nous était apportée
Collectivement nous avons refusé ces solutions d'autant plus inacceptables de la part d'une association qui a fait du droit au logement pour tous son cheval de bataille.
Les responsables de l'hôtel social ont alors employé des méthodes dignes des marchands de sommeil : vigiles présents en permanence à l'hôtel et particulièrement agressifs avec les résidents, pressions continuelles et menaces d'expulsion, licenciement d'un compagnon d'Emmaüs, résident de l'hôtel, menaces de placement de nos enfants, menaces sur les sans-papiers.
Nous nous sommes adressées à la mairie du dix-neuvième arrondissement, pour notre relogement, mais aussi pour des aides sociales pour la rentrée de nos enfants : celle-ci de manière totalement illégale nous a signifié que nous n'étions plus, pour elle des habitants de l'arrondissement et qu'aucun soutien ne nous serait accordé puisque nous n'acceptions pas les propositions d'Emmaüs.
Nous nous sommes alors tournées vers l'abbé Pierre : celui-ci nous a répondu par écrit (lettre jointe au communiqué)
Sa réponse est pour le moins étonnante quand on connaît son engagement en faveur des plus démunis : on nous demande « de nous rendre à la raison », on nous indique « qu'on ne peut pas toujours faire ce qui nous plait », comme s'il était raisonnable d'accepter à nouveau des conditions de logement indignes et de surcroît sans garantie aucune de financement des hébergements et de suivi social.
L'association Droit au logement, dont nous sommes adhérents nous tient le même discours et nous demande de quitter l'hôtel. "
dont voici la source :
http://cnt.ait.caen.free.fr/forum/viewtopic.php?t=665
Et votre censure de petit ne passera pas Vous prétextez de manière abusive un droit d'auteur inopérant en la matière s'agissant d'extraits de publication amenés dans un espace de discussion non commerciale, et qui plus est disponibles sur internet de manière gratuite, vous êtes petit
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/les-liens-opac-du-dal_746081.html
et voici donc le passage cohérent et sourcé que certains ne veulent pas voir et censurent en utilisant des règles formelles détournées..
« Droit Au Logement » (DAL) est issue d'une scission du Comité des Mal-Logés fondé à Paris en 1986. En mai 1990, 48 ménages, essentiellement des familles avec enfants, sont expulsés de deux immeubles squattés du 20e arrondissement de Paris. Avec le soutien de militants associatifs du quartier, ces familles organisent alors un campement qui va durer quatre mois. Grâce à la mobilisation de nombreuses associations, syndicats et partis politiques de gauche et à la médiatisation de leur cause, un médiateur est nommé qui procèdera au relogement des dites familles. C'est dans ce contexte là que Jean-Baptiste Eyraud à la demande des futurs protagonistes de la Gauche Plurielle crée le DAL, en rupture avec les adhérents autonomes du Comité des Mal-Logés qui refusent toute étude des dossiers au cas par cas et mènent une concertation quotidienne avec les autorités municipales afin d'obtenir un relogement dans des conditions décentes, à savoir des logements HLM proches des lieux de travail. Jean Claude Amara, François Breteau Avocat, et de nombreux autres rejoindront l'association à sa création et en deviendront ses fondateurs. La nouvelle association faisant le forcing permanent auprès des familles afin qu'elles acceptent des relogements dans des habitats anciens et mal rénovés avec des baux précaires, les adhérents du comité seront alors appelés des "Jusqu'auboutistes"et seront assimilés par les futurs protagonistes de la Gauche Plurielle aux partisans emprisonnés du groupe de lutte armée Action Directe.
Puis..
L'article 2 des statuts de l'association exige un relogement décent et définitif des mal-logés.
Ce qui fait furieusement débat chez les adhérents et parmi les autres associations de lutte sur le logement lorsque les responsables de cette association exercent chantages et menaces pour forcer leurs "familles à accepter comme relogement des taudis.
A ce titre la triste histoire de l'immeuble Vinccent Auriol et de son incendie quinze ans plus tard est significative
== Voir aussi ==
et bien evidement rajouter dans articles connexes le lien sur l'article du comité des mal-logés ainsi qu'en liens externes ces quelques sources pertinentes
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/les-liens-opac-du-dal_746081.html
http://www.mouvementautonome.com/article-piqure-de-rappel-69294683.html
http://www.freha.fr/actualites/actualite/article/vincent-auriol.html
http://cnt.ait.caen.free.fr/forum/viewtopic.php?t=665
La litterature concernant les dérives et dérapages de cette association indécente ne manquent malheureusement pas
urbapol.free.fr/Download/Le%20DAL_0.pdf
et pour la loi anti-squat : http://www.hns-info.net/spip.php?article10341
et pour d'autres pratiques bizarres : http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/01/19/2376203_ils-squattaient-l-immeuble-et-sous-louaient-des-etages-c-etait-pour-rendre-service.html
Et pour la réalité et complexité des actions du CML puis du Dal http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/polix_0295-2319_1996_num_9_34_1035
Christian Hivert