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"tu me fout un coup de poing sur le nez, je saigne rapidement, c’est pas dur, et tu t’casses avec le fric, moi je reste à côté du type, on s’est fait agresser par derrière, rien vu venir, l’agresseur était un grand noir, c’est tranquille non ?", Arthur...

L’AUTONOMIE de la classe ouvrière est l’action concertée, dansl’organisation qui leur est propre, de l’ensemble des travailleurs exploités. Exploités et exploiteurs n’ont pas les mêmes intérêts. Les exploités ne peuvent lutter avec les mêmes armes que...

*/* Kahina lui avait manqué de respect, lui semblait-il : Mêle-toi de tes fesses, connard ! lui avait-elle lancé. Ce n’était pas grave, il l’aimait bien la petite. Il y veillait. Il était le plus proche de ses grands frères. Aussi, quand elle le lui avait...

Le charme avec lui, c’était sa manière de tout tirer à la pirouette. Et quand il se donnait le plus l’air dandy, il était le plus mal, Kahina savait sentir cela. Elle n’insista pas. Qu’est-ce tu fais, Nora ! Tu t’chatouilles ? Oh ! Ça va les vulgarités,...

Claquant des mains et trémoussant le bassin, ils étaient ivres, ces princes du désert déracinés. Et son sens de la prudence le faisait s’inquiéter. D’autant que la jeune fille en question était une petite-fille des montagnes de Kabylie, tout comme lui...

Claquant des mains et trémoussant le bassin, ils étaient ivres, ces princes du désert déracinés. Et son sens de la prudence le faisait s’inquiéter. D’autant que la jeune fille en question était une petite-fille des montagnes de Kabylie, tout comme lui...

Sans doute ce corps plein et arrondi de volupté les émouvait. Cette manière de l’exposer au vent, au soleil, aux yeux envieux et aux regards fiévreux. Cette nonchalance molle, alanguie ! Est-ce qu’elle marchait ? Est-ce qu’elle glissait ? Était-ce ce...

Un jardin, cela sort de soi-même, on y met ses goûts et ses couleurs ; on le bichonne pour le plaisir des yeux : l’attente d’une éclosion, du nez : l’accueil d’une fragrance, des doigts : la découverte d’une texture, de la peau : le frisson d’un frôlement,...

Chapitre 4 – Kahina Il existe, à travers le monde, de rares êtres submergés d’une contemplation attentive de leurs contemporains. Des filles ou des garçons provoquent sans le vouloir des cascades d’émotions incontrôlées tout le long de leur parcours....

Écrire, communément, c’est poser des mots pesés sur une feuille, pour communiquer, dire à autrui ce que l’on pense d’intéressant, mieux dit, pas encore entendu ou compris. Écrire, c’est poser des sensations et des émotions pour qu’elles ne se perdent...

Kahina finissait de rouler le pétard. « Du sérieux, ma sœur, du sérieux, nous avons rendez- vous avec l’avenir ! » Nora intervenait, elle fila à demi-nue, le reste protégé par une grande serviette de bain, sous la grande couette. La nuque réceptionnée...

Mais cette angoisse constamment présente, même lorsqu’elle sommeillait, n’était pas reliée à des faits précis. Elle l’accompagnait et, telle une respiration, changeait de volume. Il s’arrangeait d’elle, pestait lorsqu’elle le submergeait, désespérait...

Aller voir comment c'est. Entrer dans la photo, être là sur ce chemin de sable, entrer dans le film, aller là-bas converser avec ce type accroupi, pour vivre une différence, pour rompre avec sa vie quotidienne et se la ré-apprivoiser, devenir soi-même...

Un soleil de matinée élégante le surprit à la sortie du métro Père-Lachaise. Il passa une Première fois dans la rue, sans oser s’approcher de la porte convoitée. Acheta des croissants à la boulangerie du boulevard. Revint dans le café de l’angle de la...

Pêche au cormoran Quand on voyage dans ce pays si lointain, si mythique, si inconnu dans la connaissance imparfaite que des époques historiques nous ont contées, depuis Marco Polo, puis les frères jésuites des "missions" en Chine, puis les "chinoiseries"...

La vie quotidienne a tendance à anesthésier nos perceptions, nos sentiments, nos humeurs, nos émotions, à refouler nos espoirs personnels, à les inféoder à des intérêts puissants et incompréhensibles directement. L'être humain qui est pris dans une machinerie...

Le comptage et le découpage horloger du temps imposent à l’homme moderne un stress inhabituel aux espèces animales. Toutes sortes de difficultés à être dans ce monde apparaissent en même temps et nous submergent. Alors on craque de mille manières, on...

Ils poussèrent jusqu’aux escaliers rejoignant la rue Custine. Puis, reprenant la rue Harmel jusqu’à la place Jules Joffrin, ils se séparèrent là. Arthur hésita. L’hôtel ou le Nord-Sud ? Il prit au plus court. Il n’y avait personne de sa connaissance,...

Mais sans cesse l’esprit d’Arthur s’évadait du présent impalpable vers le passé lourdement digéré, il quittait les bords de la rivière aux éclats d’argent, flottant par-delà les vallées assoupies, seul sous les étoiles, éclairé par la lune, allongé à...

Une guerre mondiale contre l’humanité Algérien, mexicain, colombien, tchadien, burundais, kurde, palestinien ou srilankais, le sang humain a toujours et partout la même couleur. Il coule pour les mêmes raisons. BASTA ! Journal de marche zapatiste, N°...

Il se détendit, il avait toujours besoin de se détendre, une sourde angoisse l'agrippait sauvagement aux moments les plus sereins, à chaque fois qu'une nouvelle étape vers son futur état de parvenu venait d'être franchie. Des fois il avait envie de dire...

Ils poussèrent jusqu’aux escaliers rejoignant la rue Custine. Puis, reprenant la rue Harmel jusqu’à la place Jules Joffrin, ils se séparèrent là. Arthur hésita. L’hôtel ou le Nord-Sud ? Il prit au plus court. Il n’y avait personne de sa connaissance,...

Communiqué du Collectif Génocide made in France www.genocidemadeinfrance.com Tiré d'indymédia Nantes Paris, le 22 mai 2009 Il y a 15 ans, l’État français supervisait et participait au génocide d’1 million de Tutsi. En une centaine de jours, l’État français...

"Il s'avançait au fond de la nuit noire. Comment pouvait-elle être autrement ? Bien qu'avec toutes les lumières de la ville, elle ne fût plus vraiment... La nuit n'existe pas, se surprit-il à penser, ce sont les hommes qui l'inventent au prix de leurs...

C'est la banque qui l'avait eu, corps et âme. Peut-être bien, s'il avait voulu composer, faire un peu comme tout le monde, se plier peu à peu, il y aurait moins perdu. C'est vrai que vers la fin des luttes, au début de la restitution partielle des terres,...

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